L’activité dans la métallurgie s’est rétractée en cette fin 2024, pâtissant de la baisse de la demande des secteurs de l’automobile et de la construction.
L’activité partielle dans la métallurgie reste à des niveaux relativement élevés par rapport à d’autres secteurs d’activité en particulier dans le traitement et revêtement des métaux ainsi que la forge, l’emboutissage et l’estampage. L’emploi salarié permanent se stabilise dans la métallurgie en Bourgogne-Franche-Comté au 4e trimestre 2024 tandis qu’il diminue de 0,4 % au niveau national. Cependant, l’emploi intérimaire continue de se replier nettement : -2,7 % ce trimestre et -10,0 % sur un an.
Les embauches de salariés (hors intérimaires) dans ce secteur en 2024 sont en baisse par rapport à 2022 et 2023. Environ un salarié sur cinq est une femme et leur part dans les embauches diminue de 2 points en deux ans. En 2024, 59 % des embauches du secteur dans la région se font sous la forme d’un contrat à durée indéterminée (CDI), soit 2 points de plus qu’au niveau national. Dans le même temps, les départs du secteur sont moins nombreux en 2024 comme en 2023 qu’aux cours des années précédentes. Les départs sont légèrement supérieurs aux embauches du secteur en 2024. La part de ruptures de contrat de travail augmente (+3 points en deux ans), en particulier dans la fabrication de produits métalliques. Les démissions sont le premier motif de rupture de contrat mais leur part est nettement inférieure par rapport à la moyenne dans l’ensemble des secteurs d’activité et elle diminue sensiblement sur les deux dernières années.
Concernant le commerce extérieur, les exportations augmentent vigoureusement au 4e trimestre 2024 par rapport à l’année précédente mais leur montant est inférieur à celui des importations.


Présentation du secteur

Au 4e trimestre 2024, 5 % des salariés de la région sont employés dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques

Avec 5 % de personnes salariées dans ce secteur, la Bourgogne-Franche-Comté se situe au premier rang des régions françaises.

Carte 1 | Poids du secteur dans la région comparativement au niveau national

Source : Urssaf/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Traitement et revêtement des métaux ; usinage : premier secteur employeur

En 2023, 7 981 salariés travaillent dans le secteur “Traitement et revêtement des métaux ; usinage”, soit 25 % des personnes employées dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques.

Tableau 1 | L’emploi salarié par secteur détaillé

Secteur d’activité détaillé Effectifs salariés en 2023 Part des effectifs dans le secteur (en %)
Traitement et revêtement des métaux ; usinage 7981 25
Forge, emboutissage, estampage ; métallurgie des poudres 4995 16
Fabrication d’autres ouvrages en métaux 4732 15
Fabrication d’éléments en métal pour la construction 4416 14
Fabrication de coutellerie, d’outillage et de quincaillerie 2431 8
Sidérurgie 1834 6
Production de métaux précieux et d’autres métaux non ferreux 1723 5
Fabrication de générateurs de vapeur, à l’exception des chaudières pour le chauffage central 1328 4
Fonderie 905 3
Fabrication de tubes, tuyaux, profilés creux et accessoires correspondants en acier 784 2
Fabrication d’autres produits de première transformation de l’acier 376 1
Fabrication de réservoirs, citernes et conteneurs métalliques 239 1
Fabrication d’armes et de munitions 50 0

Source : Urssaf/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.


Les établissements employeurs

En 2023, 1 158 établissements dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques se situent en Bourgogne-Franche-Comté.

Dans la région, 428 établissements emploient entre 10 et 49 salariés. Ils représentent 30 % de l’emploi salarié du secteur.

Graph 1 | Taille des établissements

Source : Insee, Flores 2023/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.


Tableau 2 | Top 10 des établissements employeurs

Département Tranche d'effectifs Secteur d'activité
INDUSTEEL FRANCE 71 250 salariés et plus Sidérurgie
APERAM STAINLESS FRANCE 71 250 salariés et plus Sidérurgie
SALZGITTER MANNESMANN STAINLESS ... 21 250 salariés et plus Fabrication de tubes, tuyaux, profilés creux et accessoires correspondants en acier
APERAM ALLOYS IMPHY 58 250 salariés et plus Production de métaux précieux et d'autres métaux non ferreux
T.EN LOADING SYSTEMS 89 250 salariés et plus Fabrication d'éléments en métal pour la construction
FRAMATOME 71 250 salariés et plus Fabrication de générateurs de vapeur, à l'exception des chaudières pour le chauffage central
FRAMATOME 71 250 salariés et plus Forge, emboutissage, estampage ; métallurgie des poudres
R. BOURGEOIS 25 250 salariés et plus Forge, emboutissage, estampage ; métallurgie des poudres
MINEBEA ACCESSSOLUTIONS FRANCE 58 250 salariés et plus Fabrication de coutellerie, d'outillage et de quincaillerie
MASSILLY FRANCE 71 250 salariés et plus Fabrication d'autres ouvrages en métaux

Source : Insee, Flores 2023/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Traitement et revêtement des métaux ; usinage : premier secteur en nombre d’établissements

Avec 539 établissements, le secteur “Traitement et revêtement des métaux ; usinage” représente 46 % des établissements dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques en 2023.

Tableau 3 | Les établissements par secteur détaillé

Secteur d’activité détaillé Nombre d’établissements Part des établissements dans le secteur (en %)
Traitement et revêtement des métaux ; usinage 539 46.5
Fabrication d’éléments en métal pour la construction 217 18.7
Forge, emboutissage, estampage ; métallurgie des poudres 124 10.7
Fabrication d’autres ouvrages en métaux 103 8.9
Fabrication de coutellerie, d’outillage et de quincaillerie 95 8.2
Fonderie 28 2.4
Production de métaux précieux et d’autres métaux non ferreux 15 1.3
Fabrication d’autres produits de première transformation de l’acier 12 1.0
Fabrication de tubes, tuyaux, profilés creux et accessoires correspondants en acier 8 0.7
Sidérurgie 8 0.7
Fabrication de réservoirs, citernes et conteneurs métalliques 6 0.5
Fabrication de générateurs de vapeur, à l’exception des chaudières pour le chauffage central 2 0.2
Fabrication d’armes et de munitions 1 0.1

Source : Insee, Flores 2023/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.



L’emploi dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques

31 562 salariés permanents et 2 751 intérimaires travaillent dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques

En Bourgogne-Franche-Comté, 31 562 salariés travaillent dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques au 4e trimestre 2024. À ces salariés permanents s’ajoutent 2 751 intérimaires qui travaillent dans le secteur.
Le nombre de salariés est le plus élevé dans le Doubs (8 026). La part de salariés travaillant dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques est la plus importante en Haute-Saône (5 %).

Tableau 4 | Chiffres clés sur l’emploi dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques
4e trimestre 2024
Emploi salarié permanent Emploi intérimaire Emploi total
Effectifs évolution trimestrielle (en %) évolution annuelle (en %) Effectifs évolution trimestrielle (en %) évolution annuelle (en %) Effectifs évolution trimestrielle (en %) évolution annuelle (en %)
France (Hors Mayotte) 371 736 −0,4 −0,9 29 490 −1,2 −9,3 401 226 −0,4 −1,6
Bourgogne-Franche-Comté 31 562 −0,0 −0,7 2 751 −2,7 −10,0 34 313 −0,2 −1,5
Côte-d'Or 3 241 −0,4 −2,6 302 2,0 16,2 3 543 −0,2 −1,2
Doubs 8 026 −0,3 −1,1 752 −0,7 −18,8 8 778 −0,3 −2,9
Haute-Saône 3 359 0,1 −0,6 342 −3,0 −7,6 3 701 −0,2 −1,3
Jura 3 085 0,2 0,5 289 −3,7 −8,4 3 374 −0,2 −0,3
Nièvre 1 758 −0,5 0,2 199 4,7 −5,3 1 957 −0,0 −0,4
Saône-et-Loire 7 457 0,8 2,3 503 −7,8 8,7 7 960 0,2 2,7
Territoire de Belfort 1 772 −1,9 −5,8 117 6,2 −34,1 1 889 −1,5 −8,2
Yonne 2 864 0,2 −2,9 248 −10,4 −26,5 3 112 −0,7 −5,4
Source : Urssaf/traitement SESE Dreets Bourgogne-Franche-Comté


L’évolution de l’emploi dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques

Au 4e trimestre 2024, l’emploi salarié est stable dans la région et il recule en France (-0,4 %) (cf. tableau 4 et graph 3). Sur un an, l’emploi salarié baisse dans la région .
Au sein des départements, l’évolution trimestrielle de l’emploi salarié permanent se situe entre -1,9 % dans le Territoire de Belfort et 0,8 % en Saône-et-Loire.

Graph 3 | Evolution de l’emploi salarié sur long terme

Source : Urssaf/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Lecture: En Bourgogne-Franche-Comté, le nombre de salariés permanents dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques a diminué de -6,3 % entre le 1er trimestre 2018 et le 4e trimestre 2024 (-4,0 % au niveau national).


Graph 4 | Evolution du recours à l’intérim sur long terme

Sources : Dares, déclarations sociales nominatives (DSN) et fichiers France Travail des déclarations mensuelles des agences d’intérim/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Lecture: En Bourgogne-Franche-Comté, le nombre d’intérimaires dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques a augmenté de 4,1 % entre le 1er trimestre 2010 et le 4e trimestre 2024 (11,3 % au niveau national).



Le recours à l’activité partielle

💬 Les informations sur le recours à l’activité partielle ont un intérêt pour le suivi de la conjoncture car :

  • ce dispositif vise à éviter les licenciements économiques ❨protection de l’emploi❩ et à adapter les heures travaillées aux variations de l’activité des entreprises ❨flexibilité du travail❩. Le suivi de la consommation d’activité partielle permet de quantifier les effets de ces variations d’activité sur l’emploi, ce qui vient enrichir les constats qui peuvent être faits sous l’angle de l’emploi.

  • les autorisations d’activité partielle permettent d’avoir une vision prospective sur la santé économique des entreprises car elles traduisent les anticipations des employeurs sur l’activité à venir. Lorsque les établissements d’un secteur dactivité rencontrent des difficultés, les autorisations d’activité partielle progressent. Quand la situation s’améliore, elles diminuent.

Suivi de la consommation d’activité partielle

Guide de lecture

Un recours important au dispositif se traduit par :

  • une augmentation du nombre de salariés indemnisés au titre de lactivité partielle

  • une part significative de salariés indemnisés au moins égale à ce que représente le secteur dans la région

  • une augmentation du taux de consommation ❨rapport entre heures consommées/ heures autorisées❩

Au 4e trimestre 2024, le recours à l’activité partielle est inférieur à celui enregistré au 3e trimestre 2024. D’après les données provisoires, le nombre de salariés indemnisés diminuerait. En moyenne trimestrielle, 860 salariés auraient été placés en activité partielle pour un total de 71 122 heures indemnisées ❨soit environ 177 emplois en équivalent temps plein❩.

Tableau 5 | Indicateurs de suivi mensuel
juil.-24 août-24 sept.-24 oct.-24* nov.-24* déc.-24*
Taux de consommation
% heures indemnisées/heures autorisées 11 5 14 10 12 14
Indemnisations
Etablissements indemnisés 978 680 954 797 823 960
Heures indemnisées 21 105 8 672 24 049 22 773 21 003 27 345
Salariés indemnisés 978 680 954 797 823 960
% salariés indemnisés/salariés secteur 3 2 3 3 3 3
Source : DGEFP-Dares/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté, s : secret statistique
* Avertissement : les consommations de l'activité partielle sont provisoires et susceptibles d'être révisées en raison des remontées tardives des entreprises ; celles-ci ayant 6 mois pour demander leur indemnisation.

Lecture : Au mois de décembre 2024, 44 établissements ont eu recours à l’activité partielle et 960 salariés ont été indemnisés pour un total d’environ 27 345 heures chômées. Cela représente en moyenne 28 heures chômées par salarié (soit près de 1 semaine(s) à 35 heures hebdomadaires).


Graph 5 | Salariés indemnisés au titre de l’activité partielle

Source : DGEFP-DARES, demandes indemnisations SI-APART/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Lecture : Au mois de décembre 2024, 960 salariés de la métallurgie, fabrication de produits métalliques ont été indemnisés au titre de l’activité partielle.



Consommation d’activité partielle par département

Au cours du 4e trimestre 2024, les établissements situés dans le Territoire de Belfort ont davantage eu recours à l’activité partielle. Près de 7 % des salariés travaillant dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques ont été placés en activité partielle (soit 116 personnes).

Graph 7 | Part des salariés du secteur indemnisés par département

Source : DGEFP-DARES, demandes indemnisations SI-APART/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Lecture : dans le Territoire de Belfort, près de 7 % des salariés du secteur de la métallurgie, fabrication de produits métalliques ont été placés en activité partielle au cours du 4e trimestre 2024 (soit environ 116 personnes).


Le recours au dispositif dans les prochains mois

Guide de lecture

Des prévisions moins favorables de l’activité économique se traduisent par une augmentation du nombre de salariés autorisés dans les prochains mois.

Graph 8 | Autorisation d’activité partielle dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques

Source : DGEFP-DARES, demandes autorisations SI-APART/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Lecture : Au 30 juin 2025, 2 784 salariés travaillant dans le secteur la métallurgie, fabrication de produits métalliques sont concernés par une demande d’activité partielle (dossier validé ou en cours d’instruction).

Avertissement : le nombre de salariés effectivement placés en activité partielle peut s’avérer in fine inférieur si, en fonction de leurs besoins réels, les entreprises ne placent dans cette situation qu’une partie du nombre de salariés autorisé par l’administration. Seules les demandes d’indemnisation (DI) déposées chaque mois par les entreprises permettent de déterminer le recours effectif à l’activité partielle. (cf. Graph 5).

Graph 9 | … tous secteurs confondus

Source : DGEFP-DARES, demandes autorisations SI-APART/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Lecture : Au 30 juin 2025, en Bourgogne-Franche-Comté, 16 160 salariés sont concernés par une demande d’activité partielle (dossier validé ou en cours d’instruction).

Avertissement : le nombre de salariés effectivement placés en activité partielle peut s’avérer in fine inférieur si, en fonction de leurs besoins réels, les entreprises ne placent dans cette situation qu’une partie du nombre de salariés autorisé par l’administration. Seules les demandes d’indemnisation (DI) déposées chaque mois par les entreprises permettent de déterminer le recours effectif à l’activité partielle. (cf. Graph 5).


Les mouvements de main-d’oeuvre

💬 Les indicateurs de mouvements de main-doeuvre rendent compte du besoin en emploi des entreprises :

  • le suivi et lanalyse des embauches permet dappréhender les besoins et lévolution des pratiques dembauches des employeurs.

  • le suivi des sorties et lanalyse des motifs permet de mieux comprendre les causes liées à ces départs ❨ex: retraite, démission, licenciement économique❩.

Champ de l’étude : secteur privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs.

Les volumes d’embauches

En 2024, 5 360 contrats de travail (CDD, CDI) ont été signés dans le secteur de la métallurgie, fabrication de produits métalliques, 613 de moins qu’en 2023. Les embauches sont moins nombreuses qu’en 2022 où 6 080 contrats avaient été signés.

Graph 10 | Evolution des embauches (CDD, CDI) en cumul depuis le début d’année

Source : Dares-MMO/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Lecture : En 2024, 5 360 contrats (CDD, CDI) ont été signés dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques.


Evolution des embauches en CDI

Guide de lecture

Les indicateurs proposés ici visent à aider à la réflexion sur les problématiques suivantes :

  • les pratiques d’embauches évoluent-elles ?

  • les difficultés de recrutement liées au secteur poussent-elles les établissements à proposer davantage de CDI ?

  • existe-t-il une différence entre les activités du secteur ?

Dans le secteur de la métallurgie, fabrication de produits métalliques, les embauches en CDI sont inférieures à leur niveau de 2022 : environ 3 160 contre 3 510 en 2022. Les embauches en CDD reculent plus nettement. La part des CDI dans les embauches a augmenté passant à 59 % en 2024 contre 58 % en 2022.

Les embauches en CDI sont majoritaires dans le secteur “fabrication de produits métalliques, à l’exception des machines et des équipements”. Entre 2022 et 2024, les embauches en CDI reculent mais à un rythme moins soutenu que les CDD. En conséquence, la part des CDI s’élève désormais à 57 % des recrutements en 2024 contre 56 % en 2022.

Dans le secteur “métallurgie”, la part des CDI parmi les recrutements en 2024 est de 69 % contre 72 % en 2022. Les embauches en CDI sont majoritaires et augmentent par rapport à 2022.

Graph 11 | Volume et part de CDI parmi les embauches entre 2022 et 2024

Source : Dares-MMO/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Lecture : En 2024, 3 160 CDI ont été signés dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques, soit 59 % des embauches (58 % en 2022).


Un recours plus marqué au CDI

Guide de lecture

Les indicateurs proposés ici visent à aider à la réflexion sur les problématiques suivantes :

  • les embauches en CDI sont-elles plus fréquentes dans le secteur ?

  • dans la région plus qu’ailleurs ?

En 2024, 59 % des salariés nouvellement embauchés ont signé un CDI contre 17.2 % en moyenne dans la région.

Graph 12 | Comparaison avec la moyenne nationale et régionale, année 2024

Source : Dares-MMO/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Principaux métiers recrutés en 2024

Tableau 6 | Métiers recrutés (Top 5)
Métiers regroupés par famille professionnelle Embauches 2024 Part (en %) Part 2022 (en %)
E1Z43 : Autres ouvriers qualifiés en verre, céramique, métallurgie, matériaux de construction et énergie 461 10 9
E1Z47 : Autres ouvriers qualifiés de type industriel 401 8 8
D1Z41 : Ouvriers qualifiés travaillant par enlèvement de métal 379 8 6
E0Z22 : Ouvriers non qualifiés en métallurgie, verre, céramique et matériaux de construction 377 8 7
L2Z61 : Agents administratifs divers 268 6 4

Source : DARES-MMO/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.


Les départs de salariés

En 2024, environ 5 534 salariés ont quitté le secteur de la métallurgie, fabrication de produits métalliques, 348 de moins qu’en 2023. Ces départs sont moins nombreux qu’en 2022 où le secteur enregistrait 6 120 départs.

Graph 13 | Evolution des sorties (CDD et CDI) en cumul depuis le début d’année

Source : Dares-MMO/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Lecture : En 2024, le secteur de la métallurgie, fabrication de produits métalliques enregistre 5 534 départs.


Les ruptures de contrat et fins de CDD

Guide lecture

Objectifs des indicateurs proposés :

  • combien de contrats sont arrivés à terme ? comment anticiper ces fins de contrat pour maintenir les salariés dans une dynamique emploi et favoriser leur accès à l’emploi durable ?

  • la part des contrats précaires ❨CDD inférieur à 1 mois❩ augmente-t-elle ?

  • le volume des ruptures de contrat de travail augmente-t-il ?

Dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques, la majorité des départs des salariés en 2024 fait suite à une rupture de contrat de travail. Le recours au CDD est moins important comparativement à 2022 et leur durée s’est allongée : la part des CDD d’une durée inférieure à 1 mois parmi ceux arrivés à terme ayant diminué.

Dans le secteur “métallurgie”, la durée des CDD est plus longue. Les CDD d’une durée inférieure à 1 mois parmi ceux arrivés à terme tendent à diminuer dans le secteur “fabrication de produits métalliques, à l’exception des machines et des équipements”.


Graph 14 | Rupture de contrat de travail et fins de CDD entre 2022 et 2024

Source : DARES-MMO/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.


Graph 15 | Comparaison avec la moyenne nationale et régionale, année 2024

Le recours aux CDD courts (<1 mois) est comparable à la moyenne nationale.

Source : Dares-MMO/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.

Les motifs de rupture de contrat de travail

Guide de lecture

Objectifs des indicateurs proposés :

  • le choix de démissionner est-il plus fréquent dans le secteur depuis 2022 ?

  • les démissions sont-elles plus fréquentes qu’ailleurs ? Cette information est intéressante à croiser au regard de la part des CDI parmi les embauches ➝ enjeu de fidélisation des salariés, de sécurisation de l’emploi et d’attractivité du poste.

  • les ruptures de contrats notamment les départs non anticipés par les employeurs comme les démissions, fins de période d’essai ou encore les licenciements non économiques sont-ils plus nombreux par rapport à 2022 ? ➝ renforcement des tensions de recrutement.

Les ruptures de contrats de travail s’élèvent à 3 903 et représentent 71 % des sorties enregistrées dans le secteur en 2024. ❨cf. graph 14

Les départs faisant suite à une démission forment le premier motif de rupture de contrat de travail. Ils sont moins fréquents dans le secteur de la métallurgie, fabrication de produits métalliques par rapport à la moyenne régionale, tous secteurs confondus.
Les départs faisant suite à un licenciement non économique représentent le deuxième motif de rupture de contrat et sont aussi fréquents dans le secteur de la métallurgie, fabrication de produits métalliques.
Les établissements de la métallurgie, fabrication de produits métalliques ont eu plus recours aux licenciements économiques comparativement à la moyenne régionale.

Graph 16 | Motifs des ruptures de contrat de travail (répartition en %)

Source : Dares-MMO/traitement Dreets Bourgogne-Franche-Comté.


Focus sur les mouvements de main-d’oeuvre en 2024

Les focus ci-dessous permettent d’éclairer notamment les problématiques suivantes :

  • quelle est la part de jeunes parmi les embauches comparativement à ce qu’ils représentent dans l’emploi du secteur ? ❨idem pour les femmes, les hommes et les seniors❩

  • les jeunes signent-ils plus souvent un CDI dans le secteur par rapport à ce que l’on observe en moyenne tous secteurs confondus ? ❨idem pour les femmes, les hommes et les seniors❩

  • le secteur recrute-t-il essentiellement des postes qualifiés / non qualifiés ?

  • les salariés occupant un poste qualifié sont-ils plus nombreux à quitter le secteur qu’à y entrer ? ❨idem pour les salariés occupant un poste non qualifié❩

  • les salariés occupant un poste qualifié sont-ils plus souvent recrutés en CDI ? ❨ idem pour les salariés occupant un poste non qualifié❩

Focus sur les jeunes

8 % des salariés du secteur ont moins de 25 ans.
(source : Insee, RP 2021)

Embauches

1 908 entrées

36 % des entrées
(+ 1 pt(s) depuis 2022)

31 % ont signé un CDI
(contre 17 % des jeunes nouvellement embauchés tous secteurs confondus)

Départs

1 453 sorties

soit 26 % des sorties
( 0 pt(s) depuis 2022)

16 % occupaient un CDD < à 1 mois

parmi les ruptures de contrat : 43 % ont démissionné
(contre 43 % des jeunes tous secteurs confondus)










Focus sur les seniors

34 % des salariés du secteur ont 50 ans ou plus.
(source : Insee, RP 2021)

Embauches

767 entrées

soit 14 % des entrées
( 0 pt(s) depuis 2022)

68 % ont signé un CDI
(contre 11 % des seniors nouvellement embauchés tous secteurs confondus)

Départs

1 635 sorties

soit 30 % des sorties
(+ 2 pt(s) depuis 2022)

2 % occupaient un CDD < à 1 mois

parmi les ruptures de contrat : 15 % ont démissionné
(contre 25 % des seniors tous secteurs confondus)










Focus sur les femmes

21 % des salariés du secteur sont des femmes.
❨source : Insee, RP 2021❩

Embauches

1 180 entrées

soit 22 % des entrées
( -2 pt(s) depuis 2022)

58 % ont signé un CDI
(contre 14 % des femmes nouvellement embauchées tous secteurs confondus)

Départs

1 212 sorties

soit 22 % des sorties
( 0 pt(s) depuis 2022)

5 % occupaient un CDD < à 1 mois

parmi les ruptures de contrat : 38 % ont démissionné
(contre 44 % des femmes tous secteurs confondus)










Focus sur les hommes

79 % des salariés du secteurs sont des hommes.
❨source : Insee, RP 2021❩

Embauches

4 177 entrées

soit 78 % des entrées
(+ 2 pt(s) depuis 2022)

59 % ont signé un CDI
(contre 23 % des hommes nouvellement embauchés tous secteurs confondus)

Départs

4 320 sorties

soit 78 % des sorties
( 0 pt(s) depuis 2022)

6 % occupaient un CDD < à 1 mois

parmi les ruptures de contrat : 37 % ont démissionné
(contre 41 % des hommes tous secteurs confondus)










Focus sur les postes qualifiés

Embauches de salariés
pour un poste qualifié

2 412 entrées

soit 50 % des entrées

63 % ont signé un CDI
(contre 24 % tous secteurs confondus
parmi les postes qualifiés)

Départs de salariés
qui occupaient un poste qualifié

2 581 sorties

soit 51 % des sorties

parmi les ruptures de contrat : 37 % ont démissionné
(contre 43 % des salariés qui occupaient un poste qualifié tous secteurs confondus)










Focus sur les postes non qualifiés

Embauches de salariés
pour un poste non qualifié

1 221 entrées

soit 25 % des entrées

36 % ont signé un CDI
(contre 14% tous secteurs confondus
parmi les postes non qualifiés)

Départs de salariés
qui occupaient un poste non qualifié

1 235 sorties

soit 24 % des sorties

parmi les ruptures de contrat : 36 % ont démissionné
(contre 43 % des salariés qui occupaient un poste non qualifié tous secteurs confondus)










Le commerce extérieur

💬Les données du commerce extérieur a un intérêt pour le suivi de la conjoncture car :

  • le suivi et lanalyse des exportations/importations permet d’appréhender la performance économique de la région. Une augmentation des exportations peut signaler une économie forte et compétitive, tandis qu’une hausse des importations peut refléter une demande intérieure robuste.
  • la provenance des produits est crucial, surtout en cas de difficultés dans le pays d’origine qui pertuberaient les chaînes d’approvisionnement et entraîner des pénuries ou des hausses de prix.

Les exportations en nette progression

En Bourgogne-Franche-Comté, les exportations dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques s’élèvent à 810 013 milliers d’euros au 4e trimestre 2024. Sur un an, elles augmentent fortement (4,2 %). Dans le même temps, les importations dans ce secteur reculent nettement (-3,5 %).
Le montant des exportations est le plus élevé en Saône-et-Loire : 280 149 milliers d’euros au 4e trimestre 2024. L’évolution des exportations se situent entre -34,4 % dans la Nièvre et 105,8 % dans l’ Yonne.

Tableau 6 | Chiffres clés du commerce extérieur
4e trimestre 2024
Exportations Importations
Montant en milliers d'euros Evolution annuelle (en %) Montant en milliers d'euros Evolution annuelle (en %)
Bourgogne-Franche-Comté 810 013 4,2 992 899 −3,5
Côte-d'Or 112 352 0,3 232 692 32,0
Doubs 116 451 −4,0 201 438 −6,3
Haute-Saône 42 437 2,9 54 022 −0,9
Jura 36 554 −10,1 39 104 −14,8
Nièvre 149 390 −34,4 170 594 3,4
Saône-et-Loire 280 149 48,1 196 548 −4,8
Territoire de Belfort 23 898 11,7 40 306 −2,3
Yonne 48 781 105,8 58 196 −53,2
Source : Direction Générale des Douanes et des Droits Indirects


Graph 13 | Les exportations par département

Source : Direction Générale des Douanes et des Droits Indirects.


Allemagne : principal débouché à l’export

Avec 22 % des exportations du secteur de la métallurgie, fabrication de produits métalliques, ce pays est le principal débouché de la région.

Tableau 7 | Top 10 des pays à l’exportation
Pays Montant en milliers d’euros Part des exportations totales du secteur (en %)
Allemagne 181312 22
Royaume-Uni 96312 12
Italie 91110 11
Etats-Unis d Amérique 83452 10
Suisse 59259 7
Belgique 29209 4
Espagne 27784 3
Corée du Sud 24919 3
Portugal 23468 3
Pologne 17188 2


Tableau 8 | Top 10 des pays à l’importation
Pays Montant en milliers d’euros Part des importations totales du secteur (en %)
Suisse 183366 18
Allemagne 165571 17
Belgique 161500 16
Italie 91529 9
Espagne 46984 5
Chine 46660 5
Norvège (yc Svalbard) 41103 4
Portugal 27213 3
Royaume-Uni 24595 2
Autriche 20520 2


Produits sidérurgiques et de première transformation de l’acier : produit le plus exporté

Au 4e trimestre 2024, le montant des exportations de ce produit s’élève à 322 928 milliers d’euros, soit 40 % des exportations dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques. Les exportations de Coutellerie, outillage, quincaillerie et autres ouvrages en métaux sont le deuxième produit le plus exporté avec 30 % des exportations du secteur.

Graph 17 | Les exportations par produits

Source : Direction Générale des Douanes et des Droits Indirects.


Principaux débouchés à l’export selon les produits

Les principales destinations peuvent fortement varier d’un produit à l’autre. Les débouchés à l’exportation sont présentés ici pour les deux premiers produits exportés.

Tableau 9 | Produits sidérurgiques et de première transformation de l’acier : top 10 des pays à l’exportation
Pays Montant en milliers d’euros Part des exportations totales du secteur (en %)
Allemagne 75701 23
Italie 70563 22
Etats-Unis d Amérique 47109 15
Corée du Sud 20843 6
Chine 13137 4
Espagne 11909 4
Royaume-Uni 10596 3
Pologne 7097 2
Turquie 6865 2
Suisse 6530 2


Tableau 10 | Coutellerie, outillage, quincaillerie et autres ouvrages en métaux : top 10 des pays à l’exportation
Pays Montant en milliers d’euros Part des exportations totales du secteur (en %)
Allemagne 62809 26
Portugal 21839 9
Belgique 17441 7
Suisse 14411 6
Espagne 12640 5
Italie 11731 5
Royaume-Uni 10779 4
Pologne 7142 3
Pays-Bas 5834 2
République tchèque 5362 2


Métaux précieux et autres métaux non ferreux communs : produit le plus importé

Le montant des importations de ce produit s’élève à 440 687 milliers d’euros au 4e trimestre 2024, soit 44 % des importations dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques. Viennent ensuite les importations de Produits sidérurgiques et de première transformation de l’acier avec 31 % des importations du secteur.

Graph 18 | Les importations par produits

Source : Direction Générale des Douanes et des Droits Indirects.


Principales provenances des produits importés

La provenance peut varier fortement d’un produit à l’autre. Elle est présentée ici pour les deux premiers produits importés dans la métallurgie, fabrication de produits métalliques.

Tableau 11 | Métaux précieux et autres métaux non ferreux communs : top 10 des pays
Pays Montant en milliers d’euros Part des importations totales du secteur (en %)
Suisse 155928 35
Allemagne 76148 17
Norvège (yc Svalbard) 40645 9
Italie 21691 5
Royaume-Uni 18576 4
Belgique 15584 4
Chine 13526 3
Russie 12783 3
Espagne 10530 2
Brésil 9601 2
Tableau 12 | Produits sidérurgiques et de première transformation de l’acier : top 10 des pays
Pays Montant en milliers d’euros Part des importations totales du secteur (en %)
Belgique 140521 45.7
Allemagne 54276 17.7
Italie 34859 11.3
Espagne 20176 6.6
Autriche 11535 3.8
Suède 7324 2.4
Chine 5921 1.9
Suisse 3660 1.2
Royaume-Uni 3237 1.1
Retour France 2826 0.9


Sources, méthodologie, définitions

Sources et méthodes

La donnée structurelle du nombre d’établissements provient du fichier Flores de l’Insee (Fichier localisé des rémunérations et de l’emploi salarié).

Les évolutions de l’emploi salarié (hors intérim) sont calculées à partir des estimations trimestrielles de l’emploi salarié produites conjointement par l’Insee, l’Acoss et la Dares. Les effectifs salariés diffusés correspondent au nombre de salariés inscrits durant la dernière semaine de la période à renseigné dans la Déclaration sociale nominative (DSN). Les alternants font partie des effectifs salariés.

Les mouvements de main-d’oeuvre recensent l’ensemble des embauches et des fins de contrats de travail au niveau des établissements. Ils permettent de mesurer les entrées et les sorties selon le type de contrat (contrat à durée déterminée/contrat à durée indéterminée), la durée des contrats et les motifs de rupture.

L’intérim : depuis juillet 2018, la Déclaration sociale nominative (DSN) est l’unique source des statistiques d’intérim. Elle se substitue ainsi à la source historique, les relevés mensuels de mission – RMM – adressés à France Travail par les établissements de travail temporaire. À partir de cette information, la Dares élabore divers indicateurs mensuels, trimestriels et annuels. Ces statistiques intègrent les contrats à durée indéterminée intérimaires (CDII).

Le service statistique des Douanes publie tous les mois les données du commerce extérieur qui concernent les échanges de marchandises et non de services. La valeur statistique correspond à la valeur des marchandises au passage de la frontière française : CAF Coût Assurance et Fret inclus pour les importations, FAB Franco A Bord pour les exportations. Les droits, taxes et accises sont exclus de la valeur statistique. À l’instar des données nationales, les statistiques régionales du commerce extérieur sont établies à partir des informations issues des déclarations de dédouanement des marchandises DAU ou des réponses à l’enquête mensuelle sur les échanges de biens intra-UE EMEBI. À l’exception des échanges de gaz naturel et d’électricité, la ventilation par département puis, par agrégation, par région s’effectue de la manière suivante : - À l’exportation : c’est le département d’exportation des marchandises qui est mentionné. Il s’agit du lieu initial à partir duquel les marchandises sont exportées et non pas le département du siège social de l’entreprise qui exporte. - À l’importation : c’est le département de destination réelle des marchandises importées et non le département du siège social de l’importateur. À noter que dans certains cas, le département indiqué sur les documents douaniers peut être celui de stockage et pas forcément celui d’expédition, de consommation ou d’importation. Ainsi, des flux sont attribués aux régions possédant d’importantes plateformes logistiques d’échanges commerciaux.

Définitions

Les embauches (i.e. entrées) et les départs (i.e. sorties) sont des flux de main-d’oeuvre qui n’intègrent ni les transferts entre les établissements d’une même entreprise ni les entrées/sorties en mission d’intérim. La différence entre les entrées et les sorties ne reflète que très approximativement l’évolution de l’emploi, puisque la prise en compte de la démographie des entreprises au sein des données mouvements de main d’oeuvre est partielle, notamment pour les établissements de moins de 50 salariés.

Catégorie socioprofessionnelle : les personnes en emploi sont réparties selon leur groupe socioprofessionnel agrégé tel que défini par la nomenclature des professions et catégories socioprofessionnelles (PCS). La PCS classe la population en fonction de la profession, de la position hiérarchique et du statut (salarié ou non).
Au sein des actifs occupés, six catégories sont distinguées : les agriculteurs exploitants, les artisans, commerçants et chefs d’entreprise, les cadres et professions intellectuelles supérieures, les professions intermédiaires, les employés et les ouvriers.
A l’aide des travaux de l’Insee sur le sujet nous pouvons distinguer, au sein des ouvriers et des employés, les emplois qualifiés et les emplois non qualifiés. Les ouvriers non qualifiés regroupent les ouvriers non qualifiés de type industriel (poste 67 de la nomenclature socioprofessionnelle à 2 chiffres), les ouvriers non qualifiés de type artisanal (68) et les ouvriers agricoles (69). Pour les employés non qualifiés, la distinction se fonde sur la nomenclature à 4 chiffres : agents de service (postes 525a, 525b, 525c, 525d), agents de surveillance et de sécurité (533c, 534a), des standardistes, opérateurs de saisie (541d, 542b), caissiers ou vendeurs non qualifiés (551a, 552a, 553a, 554a, 554h, 554j, 555a), serveurs et employés non qualifiés de la restauration et du tourisme (561a, 561d, 561e, 561f), assistants maternels (563a), aides à domicile, aides ménagères (563b), employés de maison et personnels de ménage (563c), concierges et gardiens d’immeubles (564a), employés des services divers (564b).

Pour en savoir plus

« L’intérim en Bourgogne-Franche-Compté », DREETS Bourgogne-Franche-Comté, mars 2025.

« Conjoncture Emploi Insee - Urssaf - DREETS», Insee - Urssaf - DREETS, Insee Flash, mars 2025.

« Indicateurs Trimestriels Régionaux: économie, emploi, marché du travail et politiques d’emploi », DREETS Bourgogne-Franche-Comté, mai 2025.

« Indicateurs Trimestriels Départementaux : économie, emploi, marché du travail et politiques d’emploi » , DREETS Bourgogne-Franche-Comté, mai 2025.

« Indicateurs Statistiques Territoriaux : économie, emploi, marché du travail et politiques d’emploi », DREETS Bourgogne-Franche-Comté, mai 2025.

« Demandeurs d’emploi inscrits à France Travail en Bourgogne-Franche-Comté », DREETS et France Travail Bourgogne-Franche-Comté, mai 2025.

« Tableau de bord de la conjoncture Bourgogne-Franche-Comté », Insee (emploi, chômage, etc.).

« La conjoncture en Bourgogne – Franche-Comté », Tendances régionales, Banque de France, mai 2025.

Directeur de la publication:
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Conception et réalisation:
Céline Rouot, Émilie Vivas
Service études Statistiques évaluation (SESE)
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